Trois jokers 💚

Trois jokers 💚Le secret du pire ennemi de Batman est enfin révélé : il n'existe pas un mais trois Jokers. Le Clown, le Comique, le Criminel : chacun à sa manière, ces malfaiteurs au sourire carnassier ont infligé à Batman et à ses alliés des blessures tant physiques que psychologiques. Au moment où l'on retrouve des cadavres rappelant la première affaire du Chevalier Noir contre sa nemesis, Batman, Batgirl et Red Hood mènent l'enquête pour découvrir lequel des Trois Jokers est l'original... ou s'il existe vraiment. Mais le temps est loin d'avoir guéri toutes les blessures et la confiance entre les trois justiciers est, elle, passablement entamée...

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Dans cette bande dessinée, Batman a pris le siège du dieu de l'espace Metron et on lui a montré la vérité à n'importe quelle question : Batman a appris qu'il n'y avait pas un seul Joker, mais trois. Il s'agit d'une proposition très nouvelle. DC Comics n'a jamais cherché à reproduire ou à remplacer le personnage de la même manière que l'éditeur le fait avec ses super-héros (tous ses principaux super-héros, sans exception, ont été remplacés à un moment ou à un autre lors de leur retraite ou de leur mort impermanente).

Le scénariste (et directeur de la création de DC Comics) Geoff Johns divise le Joker en trois personnages La première est « le criminel » et fait apparemment référence aux premières origines du Joker, qui était un voleur et un meurtrier, plutôt qu'un psychopathe. Cette version est celle qui est ostensiblement en charge.

Le deuxième Joker est « Le Clown », et c'est la version du Joker de l'histoire classique de Batman, « The Joker's Five Way Revenge » (Batman #251, septembre 1971) de feu Denny O'Neal et Neal Adams. Cette histoire redéfinit le Joker comme un meurtrier fou et comme l'ennemi juré de Batman. Le site de culture pop en ligne Vulture évoque ce saut évolutif dans le cadre d'une interview de M. Adams.

Le troisième et dernier Joker est « le Comédien ». M. Johns s'est profondément inspiré de l'histoire classique d'Alan Moore et Brian Bolland de 1987, The Killing Joke. The Killing Joke présente le Joker sous les traits d'un comédien en perte de