Dreamaker tome 1 - kioon

 En voilà une nouveauté qui me faisait de l’oeil! C’est clairement la couverture qui m’a d’abord attiré. On ne juge pas un livre sur sa couverture, certes, mais il faut bien avouer que c’est ce qui attire notre regard en premier lieu. Une belle couverture nous donne envie de se pencher dessus. Et celle ci, je la trouve vraiment magnifique! Elle m’a de suite interpellé et j’ai eu tellement envie de découvrir ce premier tome. Je n’ai pas été déçu, cette histoire est hyper originale et j’ai vraiment adoré découvrir tout ça!
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Dans ce premier tome, les hommes ont perdu la capacité de rêver et, avec elle, une partie de leur âme s’est envolée. Pour pallier ce manque, la seule solution est d’acheter des songes auprès des DreaMakers, des élus capables d’utiliser la magie. La légende raconte même qu’ils auraient terrassé un terrible démon dans les temps anciens ! Le jeune Kiio est fasciné par leurs pouvoirs et passe chaque jour visiter la DreamHouse, le repère du mage de la ville. Plein d’énergie et toujours prêt à faire les quatre cents coups, le chenapan nourrit un secret espoir : obtenir un rêve pour échapper ne serait-ce qu’un instant à la dure réalité… Aujourd’hui, c’est le grand jour, il a enfin réuni l’argent nécessaire ! Alors qu’il entre dans la boutique, il aperçoit un étrange garçon endormi sous un arbre… C’est le début d’une aventure fabuleuse qui le mènera loin de chez lui, à la découverte des nombreux mystères qui entourent les DreaMakers !
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Ce que j’ai beaucoup aimé dans ce premier tome, c’est l’univers du manga. Je le trouve tellement original mais surtout tellement fascinant. Il est tellement bien construit. Dans ce monde, les humains ne peuvent pas rêver mais ils peuvent compter sur les DreaMakers. Mais pour ça il faut encore avoir de l’argent puisque les songes s’achètent.. J’ai trouvé ça complètement dingue au final.. Même si ce n’est pas évident de rassembler l’argent nécessaire, je trouve ça pas mal du tout de pouvoir acheter un rêve quand on en a envie! J’ai beaucoup aimé Kiio. Ce jeune homme est un vrai bout en train.
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