Ototo annonce le manga Rascal Does Not Dream of Little Devil Kohai : le jour de la marotte

Avec ce second arc, Hajime Kamoshida pousse plus en profondeur son étude du mal-être lycéen. En utilisant le « syndrome de la puberté », ce phénomène surnaturel transformant les soucis de certains jeunes en pouvoirs aussi incontrôlés qu’indésirés, il fait ressortir avec tact et habileté les problèmes sous-jacents de la société qui les entoure, sans pour autant jamais sombrer dans la redite. Après nous avoir dépeint le portrait d’une fille cherchant à s’isoler, il met cette fois en scène la vie sociale d’une jeune fille dépassée par les contraintes imposées par sa relation avec ses amies et par les luttes d’influence au sein de sa classe.

Et c’est un nouveau dessinateur, en la personne de Tsukumo Asakusa, qui prend les rênes de ce nouvel arc pour lui donner une couleur bien distincte de celle du premier. Avec un trait plaisant soulignant avec humour la célèbre expressivité de l’héroïne de son arc, il offre une légèreté bienvenue à une trame ne manquant pourtant pas de sérieux. Cette versatilité lui permet d’offrir en deux tomes une lecture plus que convaincante d’un arc captivant de la saga, que nous vous invitons à découvrir très prochainement en librairie !
 

Après bien des péripéties, Sakuta Azusagawa a finalement réussi à aider Mai Sakurajima à résoudre son problème. Désireux de pouvoir s’accorder un repos bien mérité à ses côtés, il attend avec impatience les vacances estivales. Malheureusement pour lui, un nouvel événement surnaturel va venir bousculer ses projets, puisque le 27 juin ne semble pas vouloir céder sa place. Il revit la même journée encore et encore, et cela ne semble pas être de son fait ni de celui de Mai. La raison de tout cela, il la connaît, car il n’a pas oublié leur échange de coups de pieds, c’est la charmante Tomoe Koga.